La Nive dans toute sa splendeur !

Mercredi 27 au soir Parcours amont Louhossoa – beau temps calme – eaux claires – 0,72 sur vigicrue/OSSES – de nombreux insectes : vols continus de petits sedges clairs, quelques plus gros tendance cannelle, de nombreuses émergences de’éphémères jaunes (mouches de mai ?) de grande taille, quelques grises à  corps jaune … Aucun pécheur.

M…., c’est un blanc !

Je commencerai sur la bordure d’un grand plat, sous les frondaisons : 2 poissons en train de gober. J’en ferai d’abord monter un (truite ?) sur petit sedge bécasse/CDC h. de 16, loupé au ferrage. Il ne remontera plus. Le secont s’arrète quelques instants, puis remontre le bout de son museau. Je choisi de lui faire de me positionner par son travers amont : de multiples courants entre lui et moi nécessitent un lancer courbe suivi dès le posé d’un grand mending amont , puis d’autres régulièrement, toutes les 2 secondes, pour une bonne présentation. Il monte enfin. Gobage; ferrage dans le tempo, combat lourd et obstiné mais pas virulent. Déception : c’est un blanc (cf ).
Content quand même, je poursuis sur cette bordure. Les conditions idéales (eau, temps, insectes …) me donnent une grosse confiance en cette partie qui commence si bien.

Une bordure motivante !

Pourtant, je ne ferai plus rien sur cette bordure malgré de très beaux gobages sur des éphémères jaunes, dans un secteur en marge du courant, constitué de gros blocs très anfractueux, et de grand bancs de plantes aquatiques, probablement lieu de vie de nombreux insectes. Maladresses, plus que du 14/100e en pointe (en panne de 10 et 12) ….

ca passe … limite !

La nuit approche, et je vais essayer de relever un compteur plus haut, après le virage que fais la Nive à  cet endroit. Il me faut traverser au-dessus de la ferme. En longeant la bordure, je passerai dans un grand trou, plus profond que prévu, sans pour autant remplir mes waders, mais limite. La traversée sur un radier sera délicate, l’eau étant plus haute et forte qu’imaginée (j’ai souvent traversé ici, mais en période d’étiage. Bref, ça passe, mais limite, une deuxième fois !

Fario du soir … espoir !

Je me positionne donc sur la fin de ce grand plat. Quelques poissons installés, mais, a priori des blancs. Je ferai monter un seul poisson sérieux, au début de l’accélération avant les rapides aval, en faisant draguer mon sedge. Une petite fario de 27 environ, vite relchée, qui me réconfortera en cette fin de partie fort agréable, mais peu généreuse en poissons.
J’y retourne dimanche soir ! avec une provision d’éhémères jaunes qui m’ont ptobablement manqué aujourd’hui.

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1 réponse

  1. mantos dit :

    Le Bastan et ses surprises…
    Samedi 30/06/07, pique nique en famille sur les bords du Bastan. 18h00, de nombreuses fourmis ailées servent d’apéritif a de petites farios en fin de radier. Déja une petite heure que les enfants jouent au bord de la rivière, temps lourd 30°. Un plouf plus sourd que les autres, une grosse truite: non. Un superbe rond dans l’eau en bordure de rive. Et là , la surprise exceptionnelle, une loutre sort de l’eau, avec dans sa gueule une truite de 16 ou 17 cm. Elle est superbe. Elle remonte discrètement se cacher parmis les cavités de la falaise. Incroyable, a moins de quinze mètres de nous, comme si rien n’était…. En 25 ans que je fréquente les nives, c’est la première fois que j’en croise une. Le biotope du Bastan semble intact malgrès une présence humaine de plus en plus importante. Pour la pêche on verra dans la semaine…

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